Pour information :
À compter du 1er avril 2024, le mazout 50S, couramment utilisé pour le chauffage résidentiel, cessera d'être commercialisé. Il sera remplacé par le mazout Extra, qui, bien que plus respectueux de l'environnement, est actuellement plus coûteux que le 50S.
Ce changement stratégique s'aligne sur les efforts nationaux pour améliorer la qualité de l'air. En effet, le mazout Extra possède une teneur en soufre sensiblement réduite, le rendant nettement moins polluant. Le soufre, une fois brûlé, libère du dioxyde de soufre, une substance nuisible tant pour la santé humaine que pour l'environnement.
Pour mettre en perspective cette réduction : en 1970, le mazout affichait une concentration de soufre de 6500 ppm. Le terme "ppm" signifie "parties par million", c'est une unité de mesure utilisée pour définir la concentration d'une substance dans une autre. Ainsi, en 1985, cette concentration a été divisée par deux, puis elle a été réduite à 2000 ppm en 1992, 1000 ppm en 2008 et, finalement, à 50 ppm en 2016. Dès 2024, cette concentration sera limitée à 10 ppm, attestant des progrès constants dans la réduction de la pollution atmosphérique.
Une bonne nouvelle pour l'environnement mais cette transition vers un combustible plus propre s'accompagne d'un coût plus élevé pour le consommateur.
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À compter du 1er avril 2024, le mazout 50S, couramment utilisé pour le chauffage résidentiel, cessera d'être commercialisé. Il sera remplacé par le mazout Extra, qui, bien que plus respectueux de l'environnement, est actuellement plus coûteux que le 50S.
Ce changement stratégique s'aligne sur les efforts nationaux pour améliorer la qualité de l'air. En effet, le mazout Extra possède une teneur en soufre sensiblement réduite, le rendant nettement moins polluant. Le soufre, une fois brûlé, libère du dioxyde de soufre, une substance nuisible tant pour la santé humaine que pour l'environnement.
Pour mettre en perspective cette réduction : en 1970, le mazout affichait une concentration de soufre de 6500 ppm. Le terme "ppm" signifie "parties par million", c'est une unité de mesure utilisée pour définir la concentration d'une substance dans une autre. Ainsi, en 1985, cette concentration a été divisée par deux, puis elle a été réduite à 2000 ppm en 1992, 1000 ppm en 2008 et, finalement, à 50 ppm en 2016. Dès 2024, cette concentration sera limitée à 10 ppm, attestant des progrès constants dans la réduction de la pollution atmosphérique.
Une bonne nouvelle pour l'environnement mais cette transition vers un combustible plus propre s'accompagne d'un coût plus élevé pour le consommateur.
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